jeudi 29 octobre 2009

EDF démentèle ? Pétition

EDF démentèle ? Pétition


Nous, signataires de cette lettre, demandons à Madame la Présidente de la
Commission d’enquête d’indiquer dans son rapport que l’autorisation de
démantèlement de la centrale nucléaire EL4 de Brennilis ne peut, conformément aux directives européennes en vigueur, être accordée en l’absence de débat public général sur les démantèlements d’installations nucléaires, sur les risques encourus lors de cesdémantèlements et sur le devenir des déchets.
Vous avez été désignée, Madame, pour recueillir les remarques des citoyens sur le dossier de démantèlement immédiat de la centrale nucléaire EL4 de Brennilis. Ce dossier important en volume voudrait nous démontrer que ce démantèlement peut être mené à bien jusqu’en 2025 quels qu’en soient les étapes et les « inconvénients ».
La justification du choix du démantèlement immédiat repose sur quatre éléments : sûreté, environnement, technique et développement durable mais EDF admet qu’il existe des « inconvénients » : déchets hautement dangereux non recyclables, nécessité d’utiliser une robotique coûteuse et doses collectives plus importantes prises par les travailleurs. Ces « inconvénients » -désignés comme tels dans le dossier- dépassent le simple cadre de la centrale nucléaire EL4 des Monts d’Arrée.
Nous ne pouvons accepter un tel projet qui :
- menace la santé des travailleurs et des personnes vivant autour du site pendant le démantèlement et pour les décennies à venir (contamination avérée de certaines zones, rejets de tritium et d’autres éléments par les cheminées qui se fixent dans les végétaux et animaux)
- produit des déchets radioactifs non recyclables : stockés sur place puis transportés vers des sites hypothétiques. Ils seront laissés aux générations futures.
- oublie de mentionner les coûts exorbitants supportés par la collectivité.
- ne donne aucune garantie sur la maîtrise complète de la filière jusqu’au stockage définitif des déchets les plus dangereux.
Que deviennent ces déchets en l’absence de :
- site de stockage de transition ICEDA/Bugey (envisagé mais non construit) ?
- site de stockage définitif ?

Pétition à l’initiative d’AE2D (Agir pour un Environnement et un Développement Durables), de Bretagne Vivante, de la
CLCV(Consommation Logement et Cadre de Vie), d’ERB (Eau et Rivières de Bretagne), de GMB (Groupe
Mammalogique Breton), de SDNC (Sortir Du Nucléaire Cornouaille), de VMA (Vivre dans les Monts d’Arrée).
Merci de diffuser et de retourner cette lettre-pétition avant le le 25 novembre 2009 à Sortir du nucléaire cornouaille
53 impasse de l’Odet-29000 Quimper- tél 02 98 55 63 76

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Prénom :
Adresse :

Signature :

vendredi 16 octobre 2009

Et si nous n'allions pas au cap – vert cet hiver ?


Alerte du 15 octobre 2005
Et si nous n'allions pas au cap – vert cet hiver ?



Message stictement personnel adressée à votre personne
à lire avec calme et positivité car il met des points sur les i.


LETTRE D ALERTE à lire avec attention et optimisme

Ca repart le lip dub, !

Chacun s'est positionné : donc maintenant on y va !!!


De parts et d'autres, des bruits, infos, rumeurs disent une dégradation d'europe ecologie qui deviendrait un CAP verts peu soucieux des expression électorale lors des europeennes.

Des articles commencent à poindre dans nos chers medias.

Aussi mettons cartes sur tables dès cette seconde.

Il va donc falloir réflechir, réorganiser, réinventer.
Il est vrai que le structure CAP-verts est d'un classissisme plus que classique : contrôler, contrôler il en restera toujours quelque chose. une institutionalisation d'un parti écologique ?

Un 15 % aux régionales, des sièges supplémentaires en région, des négoces pour des sièges après 2012 et on continue comme si de rien n'était ?


Les seules réponses sont le silence et jouer le timing !



Il me semble qu il serait possible

en bousculant les frontières des classiques et tristes politiques qui nous rabachent les mêmes ... depuis des années ( nos réalités témoignent de leurs pertinences )

en appelant énergies, imaginations et potentialités
des personnes, associations et autres

en discutant aussi sans arrière pensée (stratégique et si pertinente qu'elle s'enfulme dans les méandres de la stratégie) de la vraie vie des gens sans emploi, sans logement, sans espoir...

en parlant des projets des alternatives, des innovations
qui contribuent a briser les impasses proposées

de créer une dynamique
et
d'arriver à 25 % aux regionales .


Et s'il faut débattre un peu plus fort
avant le démarrage de campagne

débattons sur les risques
de l'organisation proposée actuelle CAP Verts
qui en mécontente plus d'un et d'une :

le CAP Verts : structure occulte, statut juridique ? c'est une asso ? Non ah bon : why ?
europe ecologie ? pourquoi les statuts ne sont point sur le site
finances : parait que ce sont les verts qui financent, qui cautionnent les regionales . Qui leur a demandé quelque chose : le CAP Verts.

S'il y a problème avec europe ecologie
on crée régions écologie et c'est tout. Simple non !
avec pilotage des eurodeputes qui apportent soutien national
avec structures locales

Je dis simplement que le CAP Verts joue avec le feu ...


Ce ne se fera pas en apportant des plats cuisinés élaborés dans des cuisines officines ( faites de gens éclairés et savants) mais avec des recettes discutées travaillées aux petits oignons et dégageant un fumet d'unanimité

Et tant pis pour la convivialité,

Mieux vaut des bases saines composée de concepts sains, un projet clair et proche des citoyen(ne)s, des programmes faits de chiffres, des propositions chiffrées parlantes, d'attitudes claires quant à l'attitude du second tour.

Et ce dès aujourd hui !
Eclaicir le contexte, élaguer,

Bref un peu plus d'éthique, d'élégance que de morale !

Prêts à la mutation politique ? Sûr que les certitudes vont s'estomper !


Non ce n'est pas si simple l'écologie ! Il parait que c'est systémique et complexe : même dans les pratiques représentatives ! ben oui !

Vous en doutiez.

Texte écrit en toute convivialité.

Amitiés à tout le monde même aux rigides !

Gildas Layec
perceptibles@gmail.com

Ah Nantes, exclusion de l'insertion en mission locale qui aide les jeunes de 16- 25 ans

Pour rappel :
les salarié(e)s de la mission locale se sont mis en "retrait" comme la loi les y autorisent depuis une dizaine de jours !

Et ce dans la bonne ville de la démocratie participative de Jean Marc Ayrault,
médiatiquement connu.

A ce jour, les salariés se voient recevoir des recommandés - signe de dialogues - de la part de la mission locale présidée par Michel Plaze
Michel PLAZE
Conseiller Municipal

Conseiller délégué à l’emploi et l’insertion.

Secrétariat: CADIET Lucie
Tél.: +33(0) 2 40 41 66 98

Conseiller délégué à l’emploi et l’insertion ! il est vrai que ce sont les cordonniers les plus mal chaussés ! Ne pas réussir l'insertion de professionnels de l'insertion : manque de compétences en ce domaine, volonté délibérée et politique de casser l'outil si utile aux milliers de jeunes ( tiens cà fait des électeurs cà non ? )
qui cherchent aides, conseils, formations, logements, travail.

Il est vrai que d'autres dépenses plus prestigieuses sont peut être plus prioritaires !!!




Gageons que ce conflit va se résoudre des le début de semaine prochaine avec versement intégral des salaires aux salarié(e)s

A ce jour, les soutiens syndicaux et politiques se sont faits rares alors que tout le monde a sur la langue les mots chomage, emplois, jeunes, quartiers, etc...

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Les Représentants du personnel de la Mission Locale de la Métropole
Nantaise vous informent :
Pourquoi des salariés usent actuellement de leur droit de
retrait ?
Bien plus de besoins et beaucoup moins de moyens !!
Parfois
plus de 10 Jeunes reçus en entretiens individuels par matinée par
conseiller
Suivant
les antennes, des délais d'attente énormes pour s’inscrire à la Mission
Locale ou être reçu par son conseiller
Une
offre de services largement dénaturée
Quel avenir pour les jeunes ? Que sont devenues nos valeurs
fondamentales ?
Viser l’Emploi sans tenir compte de la globalité du Jeune ?
Des postures professionnelles devenues insoutenables
- A la fois Conseillers, Secrétaires, Animateurs… Jusqu’où va la polyvalence ?
Dévalorisation
de chaque poste de travail, inégalités de traitement des salariés
Un
abandon des professionnels de terrain dans un contexte difficile
Maintes
questions ou remontées de besoins laissées sans réponse ; des
atteintes à la liberté d’expression
Quel projet de structure ?
Pourquoi une telle indifférence de nos dirigeants malgré les multiples « appels
au secours » des antennes, des services et des salariés ?
Un pilotage incompréhensible et intolérable
Que de décisions arbitraires et unilatérales de nos dirigeants, en contradiction
flagrante avec les réalités de terrain (« Symposium », « plateforme
téléphonique »…)

Absence totale de cohérence et de lisibilité dans les orientations :
« collaboration » hasardeuse avec la MDE, des conventions plus que floues…
Aucune anticipation organisationnelle, défaut criant de management
Des « restructurations », « groupes de travail », « audits »... onéreux et
improductifs
A quand des orientations réellement en faveur de l’insertion des Jeunes de la
Métropole Nantaise, partant de leurs besoins et des réalités du terrain ?

Epuisement et souffrances
«On » ne nous donne pas les moyens aujourd’hui d’assumer pleinement nos
missions et objectifs.

Nous sommes aujourd’hui dans l’incapacité de respecter nos engagements par
rapport aux Jeunes et répondre à leurs attentes

Nous sommes épuisés d’attendre cette cohérence tant espérée, et de pouvoir
poursuivre avec un peu plus de sérénité ce métier qui nous est précieux
De cette dégradation, 3 salariés sont aujourd’hui en inaptitude de travail; un
nombre conséquent d’autres personnes en arrêt maladie
Dixit notre médecin du travail : « épuisement émotionnel et professionnel »

Tout ce mal être largement exprimé et laissé sans réponse : irrespect,
indifférence, maltraitance psychologique…

Quelle volonté se cache derrière cette déstructuration massive de notre Mission Locale, ce mépris des Jeunes et cette mise en danger des salariés de la Mission Locale ???

Neuilly au quotidien loin des quotidiens et autres epad

Oliver Alain Christie nous a dressé ce courrier.
Neuilly au quotidien loin des quotidiens et autres epad
Nous la publions in extenso avec son accord
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++



Rue d'Orléans à 21.00, un automobiliste percute volontairement un cycliste

Monsieur le maire,
je ne saurai jamais si, pour une raison mystérieuse, vous n'avez pas reçu le mot que je vous avais adressé précédemment sur votre boîte facebook le 16 juillet à 17.20, ou si vous avez simplement négligé d'y répondre. Pour mémoire il s'agissait d'une communication avec l'un de vos co-listiers (conseiller municipal depuis) lequel m'avait encouragé à «passer à la mairie», choqué qu'il semblait que, expulsé sans relogement de mon domicile neuilléen en octobre 2001, je sois depuis SDF avec mes biens séquestrés, réduit à la mendicité.

Toujours est-il que je constate que les messages adressés, tant à l'adresse e-mail de la mairie qu'à votre boîte courrier facebook auraient tout aussi bien pu prendre la direction du triangle des Bermudes.

Ce rappel effectué, j'en viens à l'épisode du jeudi 15 oct. 2009 à 21h. Et, mes communications précédentes, placées sous le signe du respect et de la déférence, empreintes de modestie, voire d'humilité (à l'image de ma nouvelle condition), n'ayant rencontré qu'un silence radio de votre part, je change de type de communication et de ton.

Ceci est donc une lettre ouverte et la polémique peut, cette fois, n'en être pas absente.

Je me trouvais donc jeudi soir dans la ville où je suis né et où se trouvait mon domicile. Repartant sur mon vélo de l'avenue de Neuilly pour rejoindre l'avenue du Roule, j'empruntai la rue d'Orléans. Je n'avais parcouru qu'une cinquantaine de mètres quand j'ai entendu un véhicule klaxonner derrière moi.

Neuilléen vous-même, vous connaissez cette rue à sens unique qui ne fait guère que 300m de long. Ce n'est que relativement récemment que le stationnement bilatéral y a été autorisé. Vous semblerai-je sarcastique en évoquant qu'au temps où le stationnement n'était pas encore payant, il était toujours unilatéral et alternant par quinzaine? Toujours est-il que cette bilatéralité a réduit l'espace de circulation au point de rendre difficile le dépassement même d'un simple vélo à un automobiliste pas particulièrement adroit.

Pour reprendre le fil du récit, je roule à allure soutenue tandis q'un automobiliste se plaint de ma présence qui l'empêche de passer. Et cette fois-ci, aucune possibilité de se ranger près du trottoir pour laisser passer l'automobiliste, au demeurant fort discourtois. C'est trente mètres avant le feu tricolore que j'ai entendu un bruit suspect et senti ma roue arrière se bloquer, de même que le pédalier. Comme je n'avais pas senti de choc violent, je n'imaginais pas que l'auto m'ait touché et soupçonnai un dysfonctionnement quelconque(*). Je me suis arrêté en catastrophe avant que de chuter, au ras d'une voiture en stationnement. L'automobiliste rageur en a profité pour passer et prendre la fuite.

Il m'a fallu quelques instants pour me rendre compte que le garde-boue arrière avait été tordu ainsi que plusieurs pièces attenantes. En fait la masse de mon sac à dos sur le porte-bagage arrière avait absorbé le choc, c'est pour cela que je n'avais pas ressenti l'impact, lequel n'avait pas été assez rude pour déséquilibrer le vélo mais assez pour le déformer.

Me voilà donc avec mon unique moyen de locomotion en panne. Je n'ai que le fruit de la mendicité pour financer cette réparation imprévue.

Monsieur le maire, j'ai grandi et mûri dans cette ville. J'ai vu la bourgeoisie traditionnelle se faire graduellement supplanter par une classe de nouveaux riches, hâbleurs, au luxe tapageur et vulgaire, discourtois et incultes. Mais je ne soupçonnais pas qu'ils puissent pousser l'indignité jusqu'à l'agression. C'est volontairement que cet automobiliste a percuté mon vélo.

Quelle que soit la pleine responsabilité de l'automobiliste en question, elle ne surpasse en rien celle de la municipalité qui a initié (ou conservé) un stationnement bilatéral dans un espace qui ne le permettait pas pour la simple raison que ce stationnement est une source de revenus.

J'attends de vous une prompte réaction, M. le maire. Ou vous faudra-t-il attendre les premiers morts? L'un des deux côtés de cette rue doit être interdit au stationnement au plus tôt. C'est à votre sens des responsabilités que je fais appel.

En attendant, c'est moi qui vais devoir faire les frais de l'incurie de la municipalité.

Je doute que vous vous préoccupiez jamais du sort des Neuilléens expulsés sans relogement si j'en juge par votre silence à mes communications précédentes. Mais pour ce qui est de la rue d'Orléans, laisserez-vous cette situation dangereuse perdurer?

Bien à vous,
Oliver Alain Christie

(*) ce qui, à la réflexion, était improbable. Je venais de faire changer le cable du changement de vitesses (usé) quelques jours auparavant. La transmission venait donc d'être réglée.

mardi 13 octobre 2009

Quand la culture refuse de manger... théâtre Toursky Marseille

Le samedi 3 octobre 2009
à 19 heures
au Théâtre Toursky
Richard M

Richard Martin a entamé
une grève de la faim.
Jean Poncet, poète, écrivain,
ancien attaché culturel au quai d'Orsay,
l'a rejoint et a entamé avec lui
une grève de la faim.


alors regardez cette liste de noms
et faites selon votre conscience...

Aujourd'hui encore
en grève de la faim de
Richard Martin et Jean Poncet
pour défendre le théâtre Toursky et pour que la culture reste accessible à tous " et d'y joindre le lien du comité de soutien
http://www.comitedesoutienrichardmartin.org/
et surtout celui de la pétition à signer
http://www.lapetition.be/en-ligne/sauver-le-thtre-toursky-4463.html
Merci

Saïdou Abatcha - conteur comédien
Mohamed Adi - conteur comédien
Philippe Adrien - directeur de théâtre metteur en scène
Francis Aïqui - directeur de théâtre metteur en scène
Akel Akian - directeur de compagnie metteur en scène
Denis Alber – responsable culturel musicien
Gilda Albertoni – comédienne
Michel André - directeur de théâtre metteur en scène
Franck Apprederis - réalisateur
Pierre Arditi - comédien
Ariane Ascaride - comédienne
Saïd Assadi - producteur
Cécile Auclert - comédienne
Philippe Avron - comédien
Horia Badescu - écrivain
Alain Barsacq - directeur de théâtre metteur en scène
Jean-Louis Bartalini - chanteur
Julos Beaucarne - chanteur
Daniel Bedos – directeur de festival
Guy Bedos - comédien
Pierre Beffeyte - metteur en scène producteur
Habib Bel Hedi - directeur de théâtre
Yves Bergé – chanteur lyrique
Jean-Pierre Bernard - comédien
Olivier Bernex - artiste peintre
Pierre Béziers - directeur de compagnie metteur en scène
Jean-Paul Bianchini - poète écrivain
Pierrot Bidon – directeur de cirque
Henri-Frédéric Blanc - écrivain
Marcel Bluwal - réalisateur metteur en scène
Lew Bogdan - directeur de théâtre
Christian Boissel – compositeur
Les Bonimenteurs - comédiens
Monique Borrelli – chanteuse lyrique
Stephan Boublil - metteur en scène
Evelyne Bouix - comédienne
Michel Bouquet - comédien
Gildas Bourdet - metteur en scène
Michel Bourdoncle - musicien
Louise Bouriffé - comédienne
Antoine Bourseiller - metteur en scène
Téric Boucebci - poète
Romain Bouteille - comédien
Malick Bowens - comédien
Myriam Boyer - comédienne
Editta Braun – chorégraphe
Céline Brémond - chanteuse
Yves Broussard - écrivain
Charlie Brozzoni - metteur en scène
Jean-Pierre Brun – agent artistique
Michel Bühler - chanteur
Marie-Caroline Burnat - directrice de théâtre
Léo Butnaru - poète
Catalina Buzoianu - metteur en scène
Laurent Xavier Cabrol - artiste peintre
Richard Cairaschi - directeur de compagnie comédien
José Manuel Cano Lopez - directeur de compagnie metteur en scène
Christiano Carpanini - directeur de compagnie
Paul Carpita - cinéaste
Juliette Carré - comédienne
Caroline Casadesus - cantatrice
Carolyn Carlson - danseuse chorégraphe
Jean-Jacques Ceccarelli – artiste peintre
Dau et Catella - comédiens
Florence Chastagnier – directrice de salle de concert
Georges Chelon - chanteur
Xavier Cherrier - chanteur comédien pour Chanson plus bifluoré
Mohamed Chrif Tribak - réalisateur
Gabriel Cinque - comédien
Le Cirque Eloize toute l‘équipe
Hans-Peter Cloos - directeur de compagnie metteur en scène
Colette Cohen - productrice
Bernard Colmet – metteur en scène
Gérard Conio - écrivain
Nathalie Conio - metteur en scène
Claude Confortes - cinéaste
Jacques Connort - metteur en scène
Jo Corbeau - chanteur
Jean-Pierre Cramoisan – écrivain
Christiane Courvoisier - chanteuse
Angel d’Arizio – artiste peintre
Isabelle d’Effendel – réalisatrice
Jean David - comédien
Andrée Damant - comédienne
Yvan Daumas - artiste peintre
Vincent Debouard - comédien
Alain Deloison - sculpteur
Danièle Delorme - comédienne
Marie Demon - chanteuse
Hervé Devolder - comédien
Abderrhamane Djelfaoui - poète
Corinne et Gilles Denizio - comédiens alias Shirley et Dino
Julien Derouault - danseur chorégraphe
Gérard Desarthe - comédien
Michel Didym – metteur en scène
Abdoulaye Diop Dany - conteur comédien
Fadhel Djaïbi - metteur en scène
Françoise Donnadieu - écrivain
Jean-Claude Dreyfus - comédien
Michel Dufetel – directeur adjoint de salle de concert
Jean Duino - chanteur
Marianne Epin - comédienne
Max Fabre - artiste peintre
Bernard Fabrizio – directeur de théâtre
Pierre-Georges Farrugia – directeur de festival
Philippe Ferran – metteur en scène
Marie-Christine Ferré - épouse de Léo Ferré
Aurélie Filippetti – Présidente de Festival
Marie Follo – chorégraphe
Yvonne Follo - danseuse
Hélène Force - comédienne
Philippe Foulquié - directeur de théâtre
Edmonde Franchi - comédienne
Kristian Frédrick - directeur de compagnie metteur en scène
Gab - comédien
Armand Gatti - écrivain
Gérard Gélas - directeur de théâtre metteur en scène
Philippe Genty - directeur de compagnie metteur en scène
André Gintzburger - producteur
Patrick Gleize - danseur chorégraphe
Olivier Gluzmann - producteur
José Gomez - producteur
René Gonzales - directeur de théâtre
Charles Gouvernet – artiste peintre
Pierre Grafféo – directeur de théâtre
Daniel Gros - comédien
Jean-Claude Grosse - directeur de théâtre
Béatrice et Brigitte Gruber - productrices
Claude Gudin - écrivain
Robert Guédiguian - cinéaste
Nicole Guidi - artiste peintre
Jean Guidoni - chanteur
Jacques Hansen - comédien
Paddy Hayter pour leFootsbarn - directeur de compagnie metteur en scène
Johanna Heeg - artiste peintre
Michel Hermon – chanteur
Pierre Herran – président Fondation Raymond Devos
Josyane Horville – directrice de théâtre
Robert Horville - écrivain
Gilles Hosipoff pour La Meson – directeur de café théâtre
Jean-Louis Hourdin - directeur de compagnie metteur en scène
Bernard Imbert - chanteur lyrique
Angélique Ionatos - chanteuse
Nikolay Ishkov - producteur
Michel Jacquet – écrivain
Pierre Jobin - agent artistique
Aurélien Kairo -danseur
Samuel Labarthe - comédien
Gilbert Laffaille – chanteur
Serge Lallemand – vice-président Centre Léo Ferré
Marie Laforêt - comédienne chanteuse
Denis Laroussini – programmateur de spectacles
Fabrice Laurent – directeur de festival
Denis Lavant - comédien
Daniel Lavoie - chanteur
Eric Le Hung - réalisateur
Christian Leblicq - directeur de compagnie metteur en scène
Catherine Lecoq - comédienne
Maxime Le Forestier - chanteur
Pascal Legros - producteur
Jacques Lebeau – directeur de théâtre
Jacques Livchine - directeur de compagnie metteur en scène
Didier Lockwood - musicien
Luca Lombardo - chanteur lyrique
Michaël Lonsdale - comédien
Jacques Lovichi - écrivain
Bernard Lubat - chanteur, musicien
Judith Magre - comédienne
Jackie Marchand - directeur de théâtre metteur en scène
Jacques Mandréa - chanteur
Philippe Manesse - directeur de théâtre comédien
Gérard Maro - directeur de théâtre comédien
Henri Marquet - sculpteur
Eric du Maroussem - artiste peintre
Christian Martin-Galtier - artiste peintre
Masdau - chanteur
Ahmed Massaia - écrivain
Michel Massé - directeur de compagnie metteur en scène
Bernard Mazo – poète
Gérard Meillan - comédien
Haïm Menahem – directeur de théâtre metteur en scène
Daniel Mesguich – comédien metteur en scène
William Mesguich - comédien
Albert Meslay - comédien
Jacky Micaelli – chanteuse
Levon Minassian - musicien
Danièle Molko – productrice
José Monléon – écrivain président du réseau international de l’IITM
Annie Monnier - comédienne
Viviane Montagnon – écrivain
Gérard Mordillat – écrivain cinéaste
Maïa Morgensten - comédienne
Aliki Moschis-Gauguet - présidente du réseau FAM
Thierry Moucazambo – comédien
Georges Moustaki - chanteur
Frédéric Mulh – metteur en scène
Philippe Nahon – chef d’orchestre
Claire Nebout - comédienne
Julie Nemr - chanteuse
Nirmala - danseuse chorégraphe
Serge Noyelle - directeur de théâtre
Merlin Nyakam - danseur chorégraphe
Virgil Ogasanu - comédien
Mama Ohamdja - chanteur
Marc Olinger - directeur de théâtre metteur en scène
Stéphane Olivié-Bisson - comédien metteur en scène
Dominique Ottavi – chanteur
Maurice Pacaud - artiste peintre
Isabelle Parsy – comédienne
Robert Party - comédien
Maxime Pascal – écrivain
Raymond Passauro – artiste peintre sculpteur
Philippe Pelen-Baldini - directeur de théâtre metteur en scène
Bernard Pelinq – président ATP Aix-en-Provence
Patricia Pélissié – directrice de festival
Benito Pellegrin – écrivain
Maria Perez – danseuse chorégraphe
Pierre Perret – chanteur
Rico Perriard – directeur de festival
Jean Perrier - producteur
Olivier Peyronnaud – directeur de théâtre
Barre Philipps - musicien
Marie-Claude Pietragalla - danseuse chorégraphe
Valéria Pilia – chanteuse directrice de compagnie
Julien Pillet - directeur de compagnie metteur en scène
Françoise Pirro - artiste peintre
Mathieu Pirro - chanteur
Johann Pollak - artiste peintre
Jean Poncet - poète
Patrick Pons - directeur de compagnie metteur en scène
Anne-Marie Ponsot – directrice de compagnie
Omar Porras - directeur de théâtre metteur en scène
Didier Porte – comédien – chroniqueur radio
Pierre Pradinas - directeur de théâtre metteur en scène
Anna Prucnal – chanteuse
Martine Pujol – comédienne
Fatos Qerimi - musicien
Groupe Quartiers Nord - comédiens musiciens
Patrick Rabier - directeur de théâtre metteur en scène
Marc Rambeau - artiste peintre
Yves Reboul – Président de Festival
Jean-Michel Ribes directeur de théâtre metteur en scène
Agnès Regolo - metteur en scène
André Robèr – artiste peintre sculpteur
Herbert Rolland - directeur de théâtre metteur en scène
Christina Rosmini – chanteuse
Empar Rossetto – danseuse
Cyril Rovery – chanteur lyrique
Rufus - comédien
Isabelle Sage – directrice de compagnie
Gisèle Sans - poète
Pierre Santini - comédien
Sapho - chanteuse
Giovanni Savoia - directeur de compagnie
Guy Schmitt – metteur en scène
Patricia Schnell - cantatrice
Marianne Sergent - comédienne
Max Serveau -directeur de théâtre producteur
Sotha - comédienne auteur
Michel Simonot – écrivain
Frédérika Smetana – directrice de compagnie metteur en scène
Ahamada Smis - slameur
Geneviève Sorin – chorégraphe
Tania Sourseva - comédienne
Phil Spectrum - musicien compositeur
Tatiana Stepantchenko - metteur en scène
Thierry Surace - directeur de compagnie metteur en scène
Jean-Jacques Surian - artiste peintre
Sandrine Sutter - cantatrice
Anne Sylvestre - chanteuse
Michel Tanner - directeur de théâtre metteur en scène
Salvador Tavora - directeur de théâtre metteur en scène
Sandra Toïtout – artiste peintre
Jean-Paul Tribout - metteur en scène
Bami Jean Tsakeng - musicien
Antoine Tudal - écrivain
André Ughetto - écrivain
Fanfare Vagabontu - musiciens
Gérard Vantaggioli – directeur de théâtre metteur en scène
Pierre Vassiliu - chanteur
Irina Vavilova – comédienne
Patrick Ventujol – artiste peintre
Pascal Verbena - sculpteur
Joan-Pau Verdier - chanteur
Bernard Vézat – décorateur
Bruno Vie – pour Les Anarseillais musiciens
Jean-Claude Villain - poète
Franck Villard - chef d’orchestre
Jean-Marie Villégier - directeur de compagnie metteur en scène
Philippe Vincenot – comédien
Raymond Vinciguerra – comédien metteur en scène
Maurice Vinçon – directeur de théâtre metteur en scène
Laurent Violet - comédien
Matei Visniec - écrivain
Jo Vurchio - musicien
Georges Werler – metteur en scène
Yerso - chanteuse
Thierry Zaboitzeff - musicien compositeur
Laurent Ziveri - directeur de compagnie metteur en scène
Wladyslaw Znorko - directeur de compagnie metteur en scène

lundi 12 octobre 2009

Lettre ouverte à Cécile D et à Europe écologie - 13 octobre 09





Publié ici une lettre d'Evelyne Cohen Lemoine
à Cécile D sans doute Cécoile Dufflot la chef des verts !
Belle analyse qui lui montre que les recettes simples
sont caduques...
Les prochaines seront multiples et systémiques.
Sans ce choix, point de planche de salut.

Merci Evelyne


Lettre ouverte à Cécile D et à Europe écologie - 13 octobre 09






Voici ce que j’exposerai dans cette lettre adressée à Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts, et à la formation politique récente appelée « Europe écologie ».
1. Le pourquoi de ce texte, sa réelle nécessité, ce pourquoi avons-nous besoin de l’écologie politique aujourd’hui ?
2. De la nécessité de faire de la politique autrement dans un contexte où le fonctionnement même de la démocratie est chaque jour menacé et dans la dynamique initiée avec la campagne des Européennes.
3. Un besoin de structure. Faire de la politique autrement ne veut pas dire travailler dans le flou et de manière purement informelle avec les risques de dérive que l’on connaît : cercles d’initiés, clivages, luttes de pouvoirs implicites, élitisme, etc.
4. Pour quel projet d’écologie Politique ?
Avec quelles mesures concrètes tout de suite (par exemple à l’issue des régionales si les écologistes gagnent des régions).


1. Le « pourquoi »

Cette lettre est un appel, celui d’une double nécessité.

La première est la conjonction inédite de plusieurs crises (financière, économique, écologique, sociale, morale…) dont on a beaucoup parlé depuis un an.
La seconde presque aussi inédite est quelque chose qui est en train de naître sur le plan Politique.
Cette double opportunité fait que nous n’avons pas le droit de retomber dans les vieux écueils ou les dérives qui ont fait échouer les utopies précédentes.

Les conjonctions de crises annoncent bien la faillite d’un système. C’est un levier immense : tout arrive en même temps pour signifier la fin de ce système (productiviste, libéral, capitaliste et consumériste).
La concomitance des facteurs entraîne une accélération des effets et une convergence des constats. Nous n’aurons pas d’autre choix que de sortir du capitalisme.
Il nous faudra sans doute aller plus loin qu’André Gorz et Ivan Illich, poursuivre la réflexion d’Hervé Kempf (« Pour sauver la planète sortons du Capitalisme ») ou Ignacio Ramonet (« le krach parfait »), dépasser certaines divergences sur les constats (Yves Cochet) pour aller vers des solutions dont certaines doivent être rapides.

C’est l’objet de cet appel : poursuivre et partager la prise de conscience tout en embrayant sur les modalités d’action politique et la mise en œuvre de solutions efficaces et concrètes de façon démocratique.

Le « boulot » qui est à faire est lui aussi systémique : nous devons être sur tous les fronts en parallèle pour gérer aussi bien les rétroactions, les effets de seuil ou les effets dominos, je le détaillerai plus loin. Nous n’avons pas le temps d’attendre d’être tous d’accord sur les constats et de savoir si oui ou non le système capitalisme doit être préservé, moralisé et reverdi ou tout simplement démantelé.


2. De la nécessité de faire de la politique autrement

La (relative réussite) d’Europe écologie aux dernières élections a été analysée et débattue sous ses multiples facettes.
On retrouve dans cette analyse la conjonction des deux facteurs qui ont motivé ce texte : conjonction des crises environnementales et économiques se traduisant par un mal être social et une prise de conscience plus aigüe, en parallèle avec l’incapacité des partis politiques (en place ou dans l’opposition) à proposer une alternative crédible.
Au-delà de ces deux facteurs, d’autres ingrédients ont contribué à cette réussite, notamment l’ouverture et le rassemblement de personnalités différentes, mais réunies autour d’enjeux plus importants, ouverture à la société civile et au monde associatif pour sortir de la politique réservée aux militants, aux élus ou aux professionnels de la question.
Maintenant la question qui se pose est la suivante :
Que devient le mouvement ? devient-il un parti classique ou s’appuie-t-il sur les Verts qui est déjà un parti structuré ? se constitue-t-il en un réseau, une fédération ?
Qui décide de son devenir ou de son évolution ?
Pour l’instant il semble y avoir une relative opacité : des "CAP" ont été créés dans les régions, avec qui, par qui, pour faire quoi ?
Qu’est-il ressorti des journées d’été de Nîmes ? Une souscription a été lancée lors de la clôture le 22 août ? Suivie en septembre d’un appel à soutenir ou à adhérer à Europe écologie.
Dany Cohn-Bendit a annoncé le 21 août un objectif de 10 000 adhérents et d’un million d’euros d’ici noël. Est-ce réaliste, réalisable si on n’a pas de visibilité sur ce qui se passe ?
Des personnes se manifestent, proposent des candidatures, des projets, des groupes se créent sur le net ou ailleurs.
C’est plein de promesses et d’énergie, d’envie de s’engager, mais on ne sais pas où ça va.
Des nouveaux leaders apparaissent, dont vous, Cécile.
Vous êtes un magnifique exemple de l’incarnation d’une nouvelle génération en politique : honnête, sincère, engagée, accessible et déterminée.
Mais y a-t-il une place pour d’autres types de leaders ou de porte-parole, des gens qui agissent sur le terrain ou des intellectuels qui ne sont ni militants ni élus ni professionnels de la politique ?
Des acteurs dont on attend qu’ils s’expriment sur tous les sujets de l’écologie politique : les enjeux sociaux et environnementaux de la transformation de notre économie, les nouvelles formes de solidarité et de partage…
Cela va de la réduction du temps de travail à la politique de transport et de mobilité, à l’urbanisme et à la transformation de l’habitat, à l’éducation et à la formation professionnelle ou la transmission des savoirs, l’agriculture biologique ou raisonnée contre l’agriculture intensive.
C’est également la justice, la politique de santé, la fiscalité et son volet sur la taxation financière, proposition qui paraît incontournable aujourd’hui. Enfin, c’est aussi les questions liées à l’économie de la connaissance, la réflexion autour de la notion de progrès, la recherche fondamentale et l’innovation.
Les ateliers des journées de Nîmes, les comités locaux d’Europe écologie, les blogs des eurodéputés, les divers rassemblements et groupes sur Face book ou ailleurs, les publications et les interventions des uns ou des autres. Il y a une densité d’expressions et de propositions permettant de sortir de la médiocrité ambiante qui continue à nous « polluer » et à nous détourner des vrais sujets.

3. Un véritable besoin de structure.

Tout groupe de personnes qui s’unit dans un temps déterminé et avec un objectif quelconque, finit par se donner une forme ou une autre de structure. Même si celle-ci peut être flexible et varier dans le temps, elle doit s’adapter aux personnalités, facultés et intérêts des membres du groupe.
Il y a des risques à ne pas structurer une formation politique telle que celle-ci.
C’est tromper que de prétendre qu’il existe des informations purement objectives. C’est également tromper que de prétendre qu’un groupe peut perdurer sans structure, il peut ainsi se transformer en « écran de fumée » qui favorise les plus forts ou les plus initiés, ceux qui peuvent établir leur hégémonie indiscutable sur les autres.
De même que la philosophie du laisser-faire dans l’économie de marché n’a pas empêché les puissants d’établir un contrôle sur les salaires, les prix ou la distribution des biens, l’absence de structure est souvent défendue par ceux qui détiennent déjà du pouvoir, qu’ils en soient ou non conscients.

Quelques principes pour une structuration démocratique d’Europe écologie.
Développer des formes d’organisation compatibles avec son fonctionnement, des formes qui s’adaptent à différentes situations. Des principes peuvent ainsi être adoptés pour éviter de tomber dans une structuration excessive :
- la délégation de l’autorité par des méthodes démocratiques sur des activités précises sur la base de l’engagement ou de l’intérêt manifesté par les personnes sur les tâches en question.
- La responsabilité, condition de réussite du principe précédent. Les personnes en charge d’une activité sont responsables de celle-ci devant les personnes qui l’ont désignée.
- La distribution de l’autorité au plus grand nombre pour éviter la création d’un monopole du pouvoir et pour que celles qui se trouvent dans des positions d’autorité en consultent d’autres dans l’exercice de cette autorité.
- Rotation des postes et des responsabilités sur la base de la capacité, de la motivation et de la responsabilité. Pour favoriser ces mouvements, développer des apprentissages pour permettre d’assumer différents types de responsabilité.
- Diffusion de l’information à tous, le plus fréquemment possible, de manière à développer l’efficacité du groupe.
- Accès aux ressources et proposition, échanges, partage pour mutualiser ces ressources entre les membres du groupe.


4. Pour quel projet d’écologie Politique ?

Je ne détaillerai pas le projet d’écologie politique comme l’ont fait Gorz ou leurs proches.Rappelons simplement que le programme d’Europe écologie le reprend dans ces grandes lignes aussi ben sur le plan environnemental que social, éducatif ou économique.
Ayons toujours en tête qu’il faut se battre sur tous les fronts simultanément. Le combat sur le climat avec l’échéance de Copenhague aura d’autant plus de sens que l’on s’occupe en parallèle du climat social et de la montée du chômage. Nous devons être la force politique qui propose une réduction massive du temps de travail (progressive à 32, 28, 24 heures hebdomadaires) ou établi sur une durée totale du travail en heures ou en années.

Consacrons-nous au partage du travail à tous les niveaux, pour que tous puissent avoir accès à un travail décent, y compris les moins qualifiés ou les plus démunis. Ces mesures étant forcément conditionnées par une réforme de la fiscalité, à un basculement de la fiscalité du travail vers la fiscalité écologique et vers la taxation des activités financières (taxe Tobin…)

C’est aussi une transformation de l’éducation et de la formation tout au long de la vie, par l’ouverture à d’autres types d’intervenants non professionnels de la question : parents, collègues, anciens… C’est une politique ambitieuse de recherche et d’innovation, y compris l’innovation sociale.

Enfin, c’est une réflexion de fond sur les valeurs de l’écologie politique et un vrai projet de civilisation ou le centre n’est pas à l’économie et ou les hommes ne se définissent pas par leur emploi, ou par ce qu’ils valent mais bien par ce qu’ils sont et par ce qu’ils apportent aux autres.

Pour mener à bien un tel projet, avec de tels enjeux, nous avons besoin de toutes les énergies et volontés disponibles.

Europe écologie a suscité un espoir et une volonté d’engagement magnifiques, ne passons pas à côté de cette occasion unique.

Les oiseaux du malheur ....

Nantes lundi 12 octobre 2009
Les oiseaux du malheur ....



Je ne sais pourquoi j'ai cette chanson de Léo Ferré dans la tête en commençant ce texte.
Pas envie de polémiquer inutilement avec des ...
S'il y en a qui veulent foncer dans le mur, qu'ils y aillent. Moi pas très chaud pour cela.
Au fait c'est quoi un mur. C'est des régionales avec des écolos à 15% au premier tour.
La raison en sera simple. Simplissime !

Petit traité de mathématique électorale


hypothèse 1

Ca continue comme çà continue.
la CAP verts continue son bonhomme de chemin sans rien voir : tout va bien !
en gros
- ignorer qu'Europe ecologie a existé
- essayer de piloter la campagne à leur guise sans se soucier du mouvement existant

Il y aura une une liste parti socialiste, une liste cap verts-Europe ecologie, une liste autres écologistes -mei generation ecologie), une liste modem ou autre, une liste front de gauche
a la louche ca fera du
20 % liste parti socialiste
15% liste cap verts-Europe ecologie
4 % liste autres écologistes
6% liste modem ou autre
7% liste front de gauche

Total 52 %

Au deuxième tour, 10% des voix ne feront pas le report sur liste parti socialiste pour de multiples raisons

moralité : plus d'élus verts dans les régions, les regions passeront à droite


Hypothèse 2

Prises de consciences d'une nécessité de rebattre cartes et attitudes, dès aujourd'hui

Il y a une liste parti socialiste, une liste Europe ecologie ouverte autres (écologistes - modem), une liste front de gauche

J'ai dit une liste reelement ouverte sur un projet clairs, des programmes clairs, des attitudes électorales d'alliance claires !
Avec un ton, un démarquage franc face à des positions de la gauche sur des thématiques précises

Il y aura une liste parti socialiste, une liste Europe ecologie, une liste front de gauche

20% liste parti socialiste
25% liste Europe ecologie ouverte autres (écologistes - modem
7% liste front de gauche


Total 52 %

moralité : on peut espérer quelques régions à gauche et encore plus d'élu(e)s écologistes dans les régions



Fin du Petit traité de mathématique électorale





Moi je veux bien tout ! Sauf la stupidité


C'est désormais aux verts et ce dès aujourd'hui de revoir PROFONDEMENT leur attitude.

Et s'il vous plait, inutile de me resservir des blabla réchauffés !
Du genre pas de problème sur la parité 50% de verts - 50 % de non-verts
Du genre pas de problème on est de gauche et que de gauche
Le problème est tout autre

D'évidence les élu(e)s respecteront les programmes et stratégies clairement annoncés
Et ce quelque soient leurs couleurs : rouges, roses, verts, oranges, noirs ou autres...

Le problème est bien autre

Aucun débat en profondeur sur ce qui fache, les pierres angulaires, les débats de société.
Juste
une putain de langue de bois toute faite,
des tractations de couloirs dans des officines nauséabondes et discrètes,
des structures d'une opacité inavouable


Bref des pratiques classiques du vieux monde politique classique aux complicités inavouées et secrètes,

Je vous promets que les voix des européennes sont arrivées car Europe ecologie apportait de l'air dans le jeu politique

Je peux comprendre
les vieux militants, les permanents, les élu(e)s
qui font le travail qu'ils peuvent au sein des institutions des associations subventionnées
Je peux comprendre les résistances et aigreurs par le passé historique ( plutôt chargé de petites histoires des verts) envers des personnalités des courants écologistes
Je peux comprendre les réticences sur des personnalités centristes pour des militants s'affirmant à voix haute et sûre de gauche ( j'en ai connu d'autres qui finissent dans des gouvernements...)

Je peux tout comprendre. Mais la bêtise, certes non !

J'espère de toute ma force que cette lettre sera utile à penser.

Pour ma part, dans l'attente d'attitudes plus cohérentes, je me mets à l'écart de la structure existante "dite représentante d'Europe ecologie" soit le CAP-verts où je ne me retrouve point dans le fonctionnement, les structures, les méthodes, les discours, les positions.

A seul titre d'exemple,
le CAP verts a t il publié un seul communiqué à l'attention des signataires d'Europe écologie depuis le 16 juin ? Or le note d'orientation qui est tombée la semaine dernière.
qui me fournira ( depuis des mois je les réclame ) les statuts d'Europe ecologie, la liste nominative des membres du CAP-verts.

Qui de vous, de nous, effacera en moi la perplexité décrite ci-dessus !

A chacun(e)de nous de vous , politiques, associatifs, syndicalistes, citoyens bref toi et moi,d'intervenir massivement dans le débat ! Laisser faire, c'est laisser mourir un espoir concret.

Et n'ayez crainte, la réappropriation de l'écologie est en route de toute part.

Personne n'a le monopole de l'intelligence, de la gauche, du coeur, de l'écologie ou de quoi que ce soit, sauf les idiots et les tyrans.

Amitiés et bises à tout lemonde !

Gildas Layec de Nantes
06 65 32 51 50

Transfert de l'aéroport : les 18 Transfert de l'aéroport : les 18 Maires de la majorité s'engagent


Transfert de l'aéroport : les 18 Maires de la majorité s'engagent

copie exacte du blog de jean marc Ayrault


18 maires sur 24 maires que composent Nantes métropole

Ainsi vous pouvez enfin questionner en toute démocratie participative vos élu(e)s
qui s'engagent en votre nom et au nom de leurs concitoyens.


Imaginons que' entre le non et le oui,
il se pourrait que l'on réfléchissasse paisiblement au peut être

Le gouvernement lance des emprunts pour investir, la communauté urbaine aussi,
sans s'interroger sur le fonds de roulement ( en clair y a combien en caisse !)
et sur la vailidité des investissements.
En ce domaine les exemples similaires sont légions.

Pronez une légère retenue à la mélagomanie de la croissance pour l'emploi
et délimiter ce fameux bout du tunnel (aérien pour cette fois ( R Barre dans les années 70;)

L'emploi etant bien entendu dans les priorités de chacun, n'est il pas ?


Gildas Layec

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Transfert de l'aéroport : les 18 Maires de la majorité s'engagent
Actualités locales


Lundi 12 octobre, les 18 Maires de la majorité de Nantes Métropole ont réaffirmé leur soutien au transfert de l’aéroport de Nantes. "Pour la sécurité, le développement durable, l’accessibilité du grand Ouest et la croissance de notre territoire, il nous apparait indispensable que ce projet aboutisse" réaffirme Jean-Marc AYRAULT.

Dans une déclaration commune que vous retrouvez ci-dessous, les 18 Maires de Nantes Métropole rappellent avec conviction leur soutien au projet de transfert de l’aéroport Nantes-Atlantique vers le site de Notre-Dame-des-Landes.

"L’avenir de la métropole se joue sur quelques dossiers stratégiques qui nous engagent, et avec nous, les générations futures. Le transfert trouve toute sa signification dans le cadre d’un projet ambitieux et durable d’aménagement du territoire.

Il s’inscrit dans un schéma renouvelé de l’armature des réseaux de transports qui renforcera leur complémentarité et permettra leur raccordement aux grands hubs continentaux et aux grandes métropoles européennes. Il s’appuiera sur les infrastructures existantes et devra accélérer l’aménagement de nouvelles infrastructures : renforcement de la plate-forme logistique multimodale à Saint-Nazaire ; transport par barges sur la Loire ; nouvelles liaisons transversales de lignes à grande vitesse vers Bordeaux-Madrid et Lyon-Milan ; liaison ferroviaire rapide et cadencée entre Rennes et Nantes via Notre-Dame-des-Landes ; et nouvelle gare de Nantes.

Notre soutien s’inscrit dans la continuité du « projet d’agglomération pour un développement durable et solidaire de notre métropole » que nous avons soumis aux électeurs en mars 2008. Il indique notre volonté « d’accompagner la décision de l’Etat de construire l’aéroport de Notre-Dame des- Landes en veillant aux équilibres sociaux, économiques et environnementaux locaux », aux côtés des autres collectivités locales. Ce projet est aussi pris en compte dans les orientations du SCOT de la métropole Nantes-Saint-Nazaire, adopté à l’unanimité.

Ce projet, initié et porté par l’Etat, a été abondamment débattu et discuté, notamment lors du débat public de 2002 et de l’enquête d’utilité publique menée en 2006. Ces deux temps forts, mais également les multiples réunions et rencontres, qui ont permis l’expression des différents points de vue et la confrontation des opinions, ont construit dans la durée un débat de qualité qui a débouché sur la déclaration d’utilité publique du projet.

L’intérêt stratégique du projet est aujourd’hui établi et partagé. Il est conforme aux orientations du Grenelle de l’environnement qui stipule que : « la création de nouveaux aéroports sera limitée aux cas de déplacement de trafic pour des raisons environnementales. La desserte des aéroports par les transports collectifs sera encouragée. » (Article 11-II de la loi dite grenelle 1 adoptée définitivement le 21 octobre 2008).

Le transfert est donc officiellement acté par l’Etat et nous rappelons notre vigilance sur le financement de ce transfert qui doit relever très majoritairement du secteur privé, des futurs exploitants et de l’Etat.

Aux opposants à ce projet, nous souhaitons rappeler que :

- La deuxième piste transversale sur l’aéroport de Nantes-Atlantique, énoncée comme une réponse simple aux problèmes fondamentaux de sécurité que constitue le survol à basse altitude de l’agglomération, et à celui de Grand Lieu, n’a jamais été une solution viable. Ce n’est qu’un leurre, qui ne répond en rien au principe de précaution et à la demande légitime de sécurité de nos concitoyens. Dans un tissu urbain et périurbain déjà très dense, il est impossible de construire une nouvelle piste transversale. Les habitants du Sud Loire, pas plus que les Nantais, ne peuvent accepter plus longtemps d’être les otages des opposants au transfert de Nantes-Atlantique.

- Seul le transfert permet de régler la question de la sécurité et de supprimer les nuisances qui concernent aujourd’hui des dizaines de milliers de personnes.

- Par la libération des espaces et des contraintes règlementaires imposées par Nantes-Atlantique, le transfert permettra de répondre à notre souci de limiter la consommation d'espace, de lutter contre l'étalement urbain et d'éviter ainsi le grignotage des terres agricoles suburbaines. Ce potentiel permettra la création de nouveaux quartiers, et la densification de l’habitat des centres-bourgs, au plus près des infrastructures existantes dans les villes concernées.

Pour le Sud-Loire, il présente l’opportunité d’être un formidable accélérateur de son développement économique, permettant l’accueil de nouvelles activités créatrices d’emploi.
Pour l’agglomération, ce projet, par sa contribution au développement économique, renforcera la création d'emplois permettant ainsi de renforcer nos politiques de solidarités.

Pour nous, le transfert de l’aéroport est l’expression d’un acte fort de soutien au tissu économique de l’agglomération, tourné vers l’industrie aéronautique de pointe. Alors que se construit sur notre territoire l’avion du futur, les salariés du pôle de compétitivité matériaux composites, du Techno campus, les entreprises de Daher à Airbus ont besoin de ce signe de confiance en l’avenir, en direction du progrès durable et du potentiel économique de notre agglomération et plus largement du Grand Ouest.

Bernard AUNETTE, Maire de Sainte-Luce-Sur-Loire

Jean-Marc AYRAULT, Député-Maire de Nantes

Bernard CHESNEAU, Maire de Thouaré-Sur-Loire

Christian COUTURIER, Maire des Sorinières

Valérie DEMANGEAU, Maire du Pellerin

Jean-Pierre FOUGERAT, Maire de Couëron

Jacques GARREAU, Maire de Bouaye

Charles GAUTIER, Sénateur-Maire de Saint-Herblain

Jacques GILLAIZEAU, Maire de Saint-Léger-Les-Vignes

Michèle GRESSUS, Maire de Bouguenais

Jean-Luc LE DRENN, Maire d’Indre

Jean-Pierre LEGENDRE, Maire de Brains

Jean-Claude LEMASSON, Maire de Saint-Aignan-de-Grand-Lieu

Liliane PLANTIVE, Maire de la Montagne

Pascal PRAS, Maire de Saint-Jean-de-Boiseau

Jean-François RETIERE, Maire de Mauves-Sur-Loire

Gilles RETIERE, Maire de Rezé

Fabrice ROUSSEL, Maire de La Chapelle-Sur-Erdre

scandaleux projet d'aérodrome privé dans le Lot: stérilisation économique et écologique!!!

scandaleux projet d'aérodrome privé dans le Lot: stérilisation économique et écologique!!!
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lundi 28 septembre 2009, à 17:39
pétition! à vos souris!-------------suite de l'affaire!

je soutiens le collectif, et je transfert...
Non au "village" de boboaérolandais qui stérilise de la terre cultivable en plein parc naturel pour nous polluer les oreilles et le ciel si beau du Lot!

message de Stéphanie Muzard Le Moing
film "sans terres et sans reproches"
http://www.facebook.com/group.php?gid=28167729495

Subject: soutien au collectif





Face au projet d'implantation d'un "VILLAGE AERONAUTIQUE" sur la commune de DURBANS, en plein coeur du parc regional, a ete cree un collectif dont le but est de s'opposer à cette realisation ubuesque;

SI vous souhaitez rejoindre et soutenir ce collectif:

1| renvoyez un mail à: collectifnoaero@yahoo.fr en notant:" je soutiens le collectif"

2|faites suivre ce mail à vos contacts

3|exigez de vos elus qu'ils se positionnent clairement et qu'ils affichent leur conviction.


Vous serez ensuite tenus au courant de l'evolution de la situation au fur et à mesure.
mail et info envoyé à tous mes contacts dont le sénateur miquel, les deux députés du lot, qq conseillers généraux, au parc naturel....

---------
Bravo, ça c'est du développement durable!
Avec ça on va nourrir la planète et taxe carbone efficace! Quand le foncier peut être utilisé à autrechose que de l'agriculture bio...pour les cantines de nos gosses.
comme ça YAB pourra venir faire un film écolo sur le Lot....Home sweet home!

Allons, nos élus du Lot!
Faites de l'écologie raisonnable!
Faites-nous une belle charte du Parc et des zones natura 2000 etc... qui servent à autre chose d'autre que d'empêcher l'installation et les permis de construire d'habitants à l'année, si possible actifs avec enfants!

Merci.
Moi, ça me décolle.

samedi 10 octobre 2009

Stéphanie Muzard Le Moing, écocitoyenne : lettre de candidature aux élections régionales



Stéphanie Muzard Le Moing, écocitoyenne : lettre de candidature aux élections régionales


ma lettre de candidature aux élections régionales
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dimanche 4 octobre 2009, à 22:41
le 1er octobre 2009-10-01

objet : proposition de candidature pour la liste Europe Ecologie aux régionales 2010.
A Antoine Soto et mes ami-e-s d’Europe Ecologie






Permettez-moi de vous rappeler quelques éléments de mon parcours.
Je suis artiste peintre, graphiste et co réalisatice du film « sans terres et sans reproches », voyage chez les résistants du Quercy .
Je me considère comme une citoyenne volontaire et engagée, sans attaches partisanes. Je suis écologiste et altermondialiste impénitente.
Au plan privé, je suis mariée, 2 enfants, 38 ans. Je me permets de vous proposer ma candidature sur la liste Europe Ecologie.

Mon engagement au quotidien, sur le terrain, le réel intérêt que mon film et mes prises de position ont suscité tant au plan national, que dans d’autres pays européens, m’ont permis de constater le soutien important de très nombreux citoyens indépendants mais aussi de personnalités du monde politique, culturel, associatif, social et économique (voir annexe*), rural ou urbain.

Au cours de mes réunions, autour du film « sans terres et sans reproches » partout dans notre région, j’ai réellement mesuré un grand degré de sympathie pour les positions alter mondialistes que je ne cesse de défendre y compris chez ceux qui paraissent d’un premier abord éloignés de nos consciences écologiques.
Je tiens à ajouter que l’ensemble de mes actions, ma façon de vivre au quotidien, mon travail artistique, sont en conformité avec mes propositions militantes. En clair, mes actes sont conformes à toutes mes prises de positions dans la mesure du possible.

Aujourd’hui je souhaite faire bénéficier l’intérêt général de mes concitoyens de mon expérience et de mes engagements civils et artistiques.

Les nombreux débats de choix de société soulevés par mon film documentaire diffusé dans toute la France (et dans certains pays en Europe) m’ont aussi permis d’acquérir une expérience de prise de parole en public, d’argumenter, d’écouter, d’éveiller des consciences et surtout d’amener le public sur le chemin de la résistance et de l’action. Et ce, quelque soit l’étiquette politique, syndicale car mon combat est un combat avant tout humaniste et positif vers une construction nécessaire, nouvelle et naissante.

Je suis aussi la porte-parole d’une génération très peu représentée politiquement dans le Lot et qui pourtant insuffle à nos territoires ruraux un avenir social, économique, solidaire, culturel, préserve le patrimoine et pratique le plus souvent l’écologie et la simplicité volontaire pour le droit et le respect des générations futures.

Bien que je sois issue de la société civile, familière du travail de terrain, et donc un peu ignorante des rouages du politiquement correct ou incorrect, je souhaite donc me présenter aux côtés du seul mouvement qui, à mes yeux, est nécessaire pour qu’un autre avenir (qui est en marche) puisse peser durablement. Je suis convaincue qu’il faut inventer la « poliéthique » et que l’utopie concrète doit gagner.
La résistance était une utopie aussi dans notre région et dans notre histoire commune, et elle a pourtant réussi en 1940.

Je propose donc de vous apporter les quelques atouts dont je crois disposer et serais heureuse de pouvoir agir au sein du conseil régional grâce à une place en position éligible que je vous serais reconnaissante de m’accorder. Je suis d’ailleurs persuadée que vous êtes enclin à faire confiance à la nouveauté, à l’innovation et à la jeunesse.

2010 est à nous. Changeons d’ère.

Merci à vous.

Informer, comprendre, agir…

Liberté, égalité, fraternité,

Stéphanie Muzard Le Moing, écocitoyenne

(annexe *) Mon travail militant est soutenu par des personnalités politiques ou associatives tels qu’entre autre Sandrine Bélier, et José Bové : députés européens, le maire Vert Jacques Boutault Paris 2, Denis Baupin, Maire adjoint de Paris Vert chargé du développement durable, de l’environnement et du plan climat, Robert Grossmann, ancien président de la Communauté Urbaine de Strasbourg et conseiller municipal UMP de cette ville européenne, des personnes issues du modem, cap 21, PS, etc… le scientifique Christian Vélot, le parrain du film, de nombreux journalistes JNE, L'association des Journalistes-écrivains pour la nature et l'écologie dont Fabrice Nicolino et Roger Cance, de nombreux réalisateurs professionnels et artistes tels que Jean-Paul Jaud, Philippe Muyl, Jean-Henri Meunier, Michel Poirier, producteur et ancien élu Vert conseiller général de Montreuil, le musicien Steve Shehan, la Fondation pour une Terre Humaine avec Jean-Louis Gueydon de Dives, journaliste de Politis, le CRIIGEN avec Jacques Maret, des associations comme Kokopelli, les faucheurs volontaires, les associations AMAP et ATTAC, Mr Gruffat, PDG de BIOCOOP FRANCE, Nature et Progrès et la Confédération Paysanne, des membres du FNE, du WWF et des citoyens –nes m’ont apportés leurs soutiens, la liste est longue je ne peux pas les citer mais vous invite à rejoindre le groupe face book où je sévis …

mercredi 7 octobre 2009

Appel des Ecosyndicalistes

Appel des

Ecosyndicalistes


Nous, salarié-e-s du privé et du public, paysans, chômeurs, précaires, retraité-e- s, militant-e-s syndicaux issu-e-s des diverses confédérations, considérant que :



1) La crise actuelle est une crise systémique globale, à la fois économique, financière , écologique. La globalité de cette crise nous oblige à repenser la question syndicale. La lutte contre les inégalités sociales et écologiques forme un seul et même combat. Mais nous ne pouvons nous satisfaire de la seule résistance au système capitaliste. Les luttes contre la privatisation des services publics, les plans de licenciements et les délocalisations sont décisives mais elles doivent se traduire par des propositions de rupture avec le mode de développement , de production et de consommation, fondé sur le productivisme. Le vieux dogme de la croissance pour la croissance comme seul horizon à la lutte du mouvement social est en crise. La défense des fins de mois et des conditions de travail ne s’oppose pas à la lutte contre la destruction de la planète. Le syndicalisme tout en privilégiant la défense des intérêts immédiats des salariés ne peut faire l’impasse sur les conséquences des dégâts du productivisme et de la fin programmée des ressources naturelles et des biens communs. Seule la transformation écologique de l’économie et de la société permettra d’avancer de combattre efficacement le chômage et d’améliorer les conditions de vie et de travail.Nous ne protègerons pas les travailleurs si l’économie toute entière n’est pas réorientée vers un autre mode de production, un autre système de transport, un autre aménagement du territoire, une autre agriculture. Il faut maintenant trouver des solutions au dépassement du capitalisme même repeint en vert et construire une alternative écologique et sociale aux ravages dont il est porteur.

2) L’écologie appartient à toutes et à tous. Elle n’est pas le domaine réservé, contrairement à une opinion trop répandue, des classes aisées des centres ville mais concerne d’abord toutes celles et tous ceux qui en sont les premières victimes : salariés, chômeurs, paysans, précaires, retraités, travailleurs pauvres.…. C’est dans les entreprises que nous devons affronter les conséquences du productivisme : amiante, pollution chimique, air pollué, ondes électromagnétiques, énergie nucléaire:…

Ce sont d’abord les ouvriers qui meurent des cancers liées aux produits chimiques, des accidents du travail, de l’air pollué…

C’est dans les entreprises de service que les nouvelles maladies liées au stress et à l’intensification du travail, au harcèlement psychique et à la course à la rentabilité se traduisent par la souffrance au travail qui va jusqu’aux suicides: ouvriers, employés cadres du tertiaires , nous sommes tous pressurés et jetés dès lors que nous ne sommes plus performants en regard des critères de rentabilité.......

Ce sont les salariés du commerce qui subissent les effets de temps partiels imposés, d'univers sonores abrutissants, ceux de l’agriculture, qui sont les premières victimes des dangereux produits phytosanitaires ou des nitrates, ..

Ce sont les salariés du secteur public, que ce soit dans les hôpitaux, les écoles, les trains ou les administrations, qui doivent faire face à des charges de travail en augmentation, alors que le démantèlement des services publics, la RGPP et les attaques répétées contre les fonctionnaires réduisent les effectifs et uniformisent peu à peu les conditions de travail dans le public et le privé.

Alors même que la médecine comme l’inspection du travail sont de plus en plus marginalisées, nous devons affronter chaque semaine de nouvelles mesures qui aggravent nos conditions de vie et de travail tout en nous jetant dans la précarité. Nous refusons d’être les variables d’ajustement de la mutation alors que nous devons en être les acteurs : C’est dans et à partir les entreprises que nous devons porter les revendications et les luttes concernant la santé et l’environnement, l’organisation du travail, la redistribution des richesses et du partage capital travail, la démocratie dans l’entreprise.

La pollution industrielle ne s’arrête pas à la sortie de l’usine.. Nous subissons tous les jours dans nos quartiers les conséquences de cette irresponsabilité sociale et environnementale : gestion des déchets, eaux usées, air pollué, bruit, urbanisme, transport… Les organisations de salariés et de paysans doivent au côté des organisations environnementales , de consommateurs et d’usagers, intervenir ensemble dans la vie de la cité.

3) Notre combat est comme celui de nos aîné-e-s un combat international. Ce sont les multinationales qui sont les principaux pollueurs de la planète. Veolia, Suez, Bouygues, Total comme Ford ou Monsanto ont une responsabilité qui dépassent leur rôle national et sectoriel. L’actuel système de gouvernance mondiale appuyé sur le FMI, la Banque Mondiale et l’OMC, loin de réguler l’économie mondiale assoit leur domination et encourage le développement d’un système financier prédateur dont la seule motivation est la course au profit pour le profit Le syndicalisme s’est créé sur une base de solidarité internationale. Il ne peut s’exonérer de cette tâche à l’heure de la mondialisation néolibérale. La convergence entre écologie, altermondialisme et mouvement social portée par les Forums Sociaux doit se traduire concrètement désormais dans l’action syndicale, comme commence à le montrer la solidarité avec les mouvements comme le LKP de Guadeloupe ou l’USTKE en Nouvelle- Calédonie ou encore avec les sans papiers en grève

La prise de conscience de la nécessité de la convergence entre l’écologie et le monde du travail a commencé :

- Via campesina, représentée par la Confédération paysanne en France, réunit des millions de paysans à travers le monde qui se mobilisent contre les OGM, pour une agriculture durable et non polluante

- Plusieurs confédérations comme la CUT Brésilienne, la Cosatu d’Afrique du Sud, les Commissions ouvrières espagnoles ou la CGT ont constitué la Fondation internationale du Travail pour le Développement durable.

- Une alliance Blue-Green, col verts-cols bleus a vu le jour aux Etats Unis et au Canada, regroupant les associations environnementales et les organisations syndicales pour une nouvelle politique énergétique et lutter contre le réchauffement climatique.

Face à l’urgence de la crise climatique et énergétique et à la brutalité de la crise économique et sociale, les écosyndcialistes appellent leurs organisations et le monde du travail à relever le défi écologique, celui de l’émancipation de notre temps

4) Le vote du 7 juin 2009 pour Europe Ecologie a créé les conditions d’une dynamique nouvelle à gauche et mis en avant de nouvelles propositions en matière de création d’emplois.. Avec les écologistes, un grand nombre de militant-e-s du mouvement syndical considère qu’il est possible de construire une alternative positive à la crise en poursuivant sur la lancée du programme développé à l’occasion des élections européennes. Les propositions qui ont été faite à cette occasion : travailler tous et autrement pour vivre mieux, revenu minimum et maximum, contrats de reconversion industrielles, notamment dans la branche de l’automobile, contrôle des usagers et des salariés sur l’organisation du travail, relocalisation des activités, redistribution des richesses, création de millions d’emplois verts non délocalisables, soutien aux initiatives d’économie solidaire, Réduction du Temps de Travail, défense et développement des services publics sont autant d’axes essentiels qui peuvent et doivent être débattues sur les lieux de travail .

5) Afin de donner d’apporter les réponses écologiques et sociales, nous nous devons de poursuivre le débat entre l’écologie politique et le syndicalisme. Le nucléaire, la croissance, la reconversion écologique, la taxe carbone, les nouvelles formes de luttes issues de la désobéissance civile, le revenu garanti, le protectionnisme et les normes sociales et environnementales à imposer, la question de l’unité syndicale, doivent faire l’objet de discussions argumentées, sans préalables, dans le respect de l’indépendance du syndicalisme mais avec la volonté de trouver des solutions nouvelles et adaptées à la crise du productivisme et de l’Etat providence. Nous devons nous saisir de ces perspectives pour en finir avec la culture productiviste issue de la tradition de la gauche traditionnelle. .

6) Nous devons mutualiser les pratiques de transformation écologique du travail et de la société et les faire connaître En France des réseaux de surveillance et de prévention contre les cancers professionnels et les accidents du travail sont mises en place ; des batailles contre les ondes électromagnétiques sont menées à partir des équipes syndicales de base. La mobilisation pour le développement du fret contre le tout routier fédère les syndicats de cheminots et, les usagers des transports, les élus locaux et les organisations environnementales. La directive Reach, sur les produits chimiques, a produit une mobilisation syndicale et un travail commun au quotidien entre organisations syndicales et organisations écologistes Les actions communes des salariés et des usagers, des paysans et des consommateurs contre la pollution et les risques industriels, pour la santé et un environnement sain sont encore peu développés.

A l’occasion des conférences sur le climat comme celles de Copenhague, la discussion sur le volet social des plans climats sera l’occasion de nouvelles convergences.

Notre rôle est d’alimenter le débat public dans le monde du travail et de sensibiliser les organisations syndicales à ces nouvelles formes d’actions.

C’est pourquoi nous appelons à la mise en place d’un réseau écosyndical permanentqui devra être le levier d’un débat public sur la question écologique dans le mouvement syndical et plus généralement dans le monde du travail. Nous ne voulons ni nous substituer aux directions confédérales, ni être un sous - courant au sein d’une ou de plusieurs organisations syndicales, ni créer un nouveau syndicat. Nous souhaitons créer un espace d’initiatives, de débat, de rencontres et d’échanges, de circulation d’information traitant de l’écosyndicalisme. La première initiative que nous nous proposons d’organiser dans ce sens, la Convention « Ecologie et Syndicalisme » tout en constituant la réunion fondatrice de notre réseau, illustrera notre volonté de débattre dans un esprit fraternel avec tous ceux qui se reconnaissent dans la volonté de changement porté par l’écologie politique et l’écosyndicalisme.









> Qui sommes-nous ?

Les signataires de l’Appel des écosyndicalistes le font à tire personnel. Quelque soient leurs fonctions, leur signature n’engage pas leur syndicat. Les signataires sont des militantes et des militants issu-e-s de toutes les confédérations, dans le respect de chaque organisation syndicale. Ils ont pris l’initiative de créer ce réseauécosyndical, sur la base de l’Appel des écosyndicalistes. Ce réseau se veut un outil au service du syndicalisme et des syndicalistes. Son objectif est de contribuer à la prise en compte de la dimension écologique par le syndicalisme. Pour les militants écosyndicalistes, les combats pour la justice sociale et la justice environnementale sont indissociables. N'hésitez pas à contribuer à la réflexion collective en envoyant analyses et informations et à participer aux réunions et aux actions proposées par le réseau.

ecosyndicalistes@gmail.com

Notre rôle est d’alimenter le débat public dans le monde du travail et de sensibiliser les organisations syndicales à ces nouvelles formes d’actions.

C’est pourquoi nous appelons à la mise en place d’un réseau écosyndical permanent qui devra être le levier d’un débat public sur la question écologique dans le mouvement syndical et plus généralement dans le monde du travail. Nous ne voulons ni nous substituer aux directions confédérales, ni être un sous - courant au sein d’une ou de plusieurs organisations syndicales, ni créer un nouveau syndicat. Nous souhaitons créer un espace d’initiatives, de débat, de rencontres et d’échanges, de circulation d’information traitant de l’écosyndicalisme. La première initiative que nous nous proposons d’organiser dans ce sens, la Convention « Écologie et Syndicalisme » tout en constituant la réunion fondatrice de notre réseau, illustrera notre volonté de débattre dans un esprit fraternel avec tous ceux qui se reconnaissent dans la volonté de changement porté par l’écologie politique et l’écosyndicalisme.



> Les 104 premiers signataires

• Françoise Alamartine, Sden CGT-Éducation (34)

• Sophie Aldeano Cluzeau, CGT livre, papier et communication (IDF)

• Marie-Elisabeth Allaire, Educ'action-CGT (44)

• Marie Atallah SUD-Section sanité-Social, IDF

• Franck Barraud, CFDT Bull, 78

• Francine Bavay, Sud-PTT (IDF)

• Régis Bellande, DP CGT, AFPA de Bourges, Formation professionnelle, Centre

• Claude-Marie Benson, responsable départementale Santé-Sociaux CFDT, Aude)

• Catherine Bernard, élue CFDT Assurances, IdF

• Jean-Jacob Bicep UGICT-CGT-RATP, IDF

• Jacques Blaize, retraité Sud

• Jorge Bocanegra, délégué du personnel, société forestière (Toul-Lorraine)

• Michel Bock, CGT-EDF/Der retraité (IDF)

• Michelle Bock Sud/APHP

• Robert Bordin, membre conseil syndical 83 Sup'Equip FSU-DDEA (83)

• Gérard Borvon SUD Education , 29

• Christiane Bouchart, élue CFDT (PSTE), Lille

• Laurent Boudereaux SUD Sante IDF

• Michel Bourgain, retraité, 30 ans de syndicalisme, Ile Saint Denis

• Jean-Claude Bragoulet, CGT Éducation (Indre et Loire)

• Thierry Brulavoine, Prof. des écoles, Sud Education 44

• Jean- François Cassant, Sec. général de l’USCP UNSA (IDF- 75)

• Thierry Cayet, CGT PARIS HABITAT

• Pierre Christophe, militant SNJ

• Katherine Coffinet, Déléguée départementale SDU-CLIAS (FSU collectivités territoriales) à l’IRCANTEC, élue CTP

• Cyril Cognéras, Sec. adjoint de la section CGT Culture Musée national Dubouché (Limoges-87)

• Yannick Comenge, Sauvons la recherche (IDF)

• Daniel Compère, Secrétaire Snes-Lycée (Nord-Pas-de-Calais)

• Yves Contassot, militant SNABF Solidaires, Banque de France (IDF)

• Laurent Coumel, enseignant, Sgen-CFDT (IDF)

• Jean-René Courtois / Ingénieur en Informatique/ CFDT - Betor 92

• Lise Daleux, CGT PACT Métropole Nord (Lille

• Bernard De Veylder, militant SGEN-CFDT, Education nationale (Nord-Pas-de-Calais)

• Jean- Marc Delaunay, Sud- Étudiant

• Gilles Denigot, Président de la Coordination Nationale des Travailleurs Portuaires et Assimilés -CNTPA- 44, St Nazaire

• François Delcombre, Syndicat des Correcteurs CGT, ex Sec- adjoint, IDF

• Olivier Descamps, Sud - Rail, SNCF (Tourcoing-59)

• Jean-Yves Demortière, Professeur des écoles, CGT Education Nevers, Nièvre, Bourgogne

• Pascal Desclaux, Sud - PTT-La Banque Postale (Bordeaux- 33)

• Thomas Desvenain, délégué du personnel CGT société de services en logiciel libre (SSLL)

• Françoise Diehlmann, CGT-fonction publique territoriale (IDF-94)

• Sylvie Duffrene, secrétaire nationale du SNABF Solidaires (Syndicat national autonome de la Banque de France), IDF

• Jean-Paul Dugoujon, militant Solidaires/Sud-Rail, retraité (Gujan Mestras)

• Dany Dutheil, C.N.T. Samu Social de Bordeaux (Prado 33) • Patrick Farbiaz, USCP UNSA (IDF-75)

• Alain Fournier, SNPES-PJJ-FSU, éducateur au Ministère de la Justice, Ile-de-France,

• Danielle Fournier ; FSU, IUT de Bobigny, Université de Paris 13 (IDF)

• Yann Fradin, adhérent Synami-CFDT (IDF)

• Jean-Michel Gambier, retraité, syndicat des correcteurs de la Féd. du livre et du papier carton CGT

• Sylvain Garel, Sud Éducation (IDF-75)

• Jérôme Gleizes, Sud- Éducation, enseignant, Académie de Créteil

• Hugues Gourdin-Bertin, secrétaire régional Centre de la SNUTEF-FSU, Ministère du travail

• Jean- François Grèzes, CNT, ex secrétaire confédéral

• Jacqueline Guenin, Retraitée, Amicale locataires 18ème arr. Fédé de Paris CNL

• Benoît Guittet, responsable et élu CFDT section de la Région Nord-Pas-de-Calais

• Philippe Hirou- délégué syndical CGT Ecocert (certfication) - Midi-Pyrénées

• Pierre Housez, retraité SGEN-cfdt

• Laurent Jourdain CGT université de Picardie Amiens

• Bernard Jomier, Médecin, MG France

• Cecilia Joxe, retraitée CSA, ex - déléguée du personnel CFDT (IDF-75)

• Bertrand Jullien, syndicaliste CFDT, Ville de Paris

• Guy Kastler, paysan, Commissions semences/ OGM - Confédération Paysanne ; commission biodiversité Via Campesina • Lars Kiil-Nielsen , Sud-Education 35

• Annie Lahmer, Sud-Ville de Paris (IDF-75)

• Florence Langevin chargée d'action culturelle à l'Institut du Monde arabe , CGT IMA. Paris

• Guy Laplatine CFDT, Nord Pas de Calais

• Philippe Lavastre, SNPDEN (éducation nationale)

• Jean-Paul Le Pohon Professeur des écoles adhérent à la F.S.U. Kemper (29)

• Zine-e-Dine M’jati, CGT social, 75

• Xavier Lhomme Sud Industrie (Sud Métaux 33) Aquitaine

• Jacques Lerichomme, FSU (13)

• Gérard Lévy, Sud, élu CE France Télécom Innovation, élu CHSCT, délégué du personnel (IDF)

• Violaine Leyder, CGT-Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse

• Elise Lowy, Sud-Éducation (Hérouville Saint-Clair- 14)

• François Maillard, Solidaires (Hérouville Saint- Clair-14)

• Pierre Masniere, retraité EDF, SUD Energie commission écologie de Solidaires , Paris

• Martin André, Délégué syndical CGT, ESSEC, Idf

• Pierre Meriaux, inspecteur du travail, Secrétaire national SNU-TEF-FSU

• Yann Mongaburu-Doméjean, Fac Verte, Grenoble

• Christophe Mongermont secr. général des syndicats FO Veolia Eau , Rennes

• Maurice Morel
 SUNDEP (SUD éducation, enseignement privé
 St Etienne)

• Catherine Naviaux CS Administration centrale éduc. nat SGEN CFDT , 75

• Marc Ottogalli, SUD PTT, St Georges d'Espéranche, Isère

• Elisabeth Pagnac, FSU, Ministère de l’Agriculture (IDF)

• Bernard Pere, Confédération paysanne, membre du CESR (Aquitaine)

• Evelyne Perrin, AC!, Stop Précarité, 94

• Jean-Yves Petit, adhérent CGT, SNCF (PACA-13)

• Gérard Peurière, Sud-Santé APHP (IDF)

• Laurent Phelippeau, Bureau SNUDI-FO Saône et Loire, Éducation nationale, Sec. adjoint Union locale FO (71)

• Picquenot Quentin, représentant syndical OPCA-ANFH, CE Union Locale CGT Paris 12 , Conseiller du salarié de Paris

• Bertrand Pieri, SUPAP-FSU

• Claude Plan, Secrétaire SNESup (FSU) IUT Cachan

• Marie-Domitille Porcheron, Maître de Conférences-Université de Picardie Jules Verne, Amiens, Secrétaire de section SNESUP

• Véronique Quaglino, SNESUP - Université de Picardie Jules Verne – Amiens (80)

• Maël Rannou, étudiant, coprésident de Fac Verte (IDF)

• Christophe Rieuze, Délégué syndical CFDT, Cortal Consors (filiale du groupe BNP-Paribas), 92

• Serge Rivret, délégué syndical FSU, Mairie de Paris- Collectivité territoriale (IDF-75)

• Christophe Rossignol, ancien DP et RS CFDT, ex- vice président du MNCP (Centre)

• Michel Roux conseiller prud'homme CGT section encadrement, Midi-pyrénées (Comminges) secteur social

• Pierre Salane, retraité enseignement privé CGT-Éducation (47)

• Yves Sauvage, Snes (Bretagne)

• Jean-Michel Sauvage, paysan, confédération paysanne, (Nord-Pas-de-Calais)

• Lisette Sudic, déléguée syndicale CGT Éduc'action (Nord-Pas-de-Calais)

• François Thiollet, Sud- Éducation (Loir et Cher-41)

• Jean-Luc Touly, conseiller prud’homal, Sud Paris, ancien délégué syndical CGT-Veolia-Eau (IDF)

• Dominique Vanstaevel salarié et délégué syndical SUD Energie (CPCUParis)...

• Jacques Vasseur élu CTP Snasub FSU ingénieur d'études Université de Picardie

• Bertrand Vernier, Enseignant, SGEN, Elu CHSCT Université de Lille 1...

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et organisation

[département]

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Informations : ecosyndicalistes@gmail.com

Salariés de mission locale en danger à Nantes

A Nantes, rien ne va plus entre les salaries et le président de la mission locale M Michel Plaze, élu au conseil municipal de cette même ville

L'association a pour partenaires privilégiées des collectivités territoriales municipalités de agglo nantaise, communauté urbaine, departement de loire atlantique, region pays de loire à majorité de gauche ( partis socialiste, parti communiste, verts, ...) : chargée de l'emploi de 16 - 25 ans elle a pour vocation l'emploi et l'insertion.

Et comble d'ironie, les relations au travail semblent plus que détestables !
Problèmes de ressources, management peu participatif...

Les élu(e)s trancheront, humainement espèrons le pour tout le monde dans cette cité de culture de du bon vivre disent les magazines !
Parfois tout n'est pas apparament si rose que rose !!!

Salariés de mission locale en danger

La presse en parle ! Nous en parlerons

" Faire Notre-Dame-des-Landes est primordial " pour Jean-Marc Ayrault

" Faire Notre-Dame-des-Landes est primordial " pour Jean-Marc Ayrault

Lu sur le site web de Ouest France
le mardi 6 Septembre 2009


Aéroport : « Faire Notre-Dame-des-Landes est primordial »

Pour Jean-Marc Ayrault, la construction de Notre-Dame-des-Landes est primordiale. Interrogé sur un éventuel abandon de ce projet par l'État pour des questions financières, il a répondu, emphatique : « Abandonner ce projet, c'est abandonner l'ouest. » Et il a confirmé que l'actuelle plate-forme de Nantes-Atlantique sera fermée. « Cela libérera 300 ha qui pourront être à terme urbanisés. Cela contribuera à réduire l'étalement urbain. 300 ha, cela représente la superficie de l'île de Nantes. »

Et pour ceux qui prônent une autre société, il affirme : « Le choix de la décroissance est une faute grave vis-à-vis des générations futures. »

Cette déclaration ne semble rtenir aucun compte des candidatures écologiques éventuelles aux régionales.

Fermer la porte me semble une bonne façon de perdre la région !

Proposer un moratoire, un référendum eut été une idée que je lui aurais soumis en tant que conseiller avisé.

Bref mettre du vin dans son eau ou l'inverse !

Je vous avoue que n'étant pas avisé ces certitudes si nuancées me perturbent...

Esperant que la réflexion portera conseil ...

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Infos générales

Nom :
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Description :
Ecologie en tout ?
Le but : aider l'écologie à faire 25% aux régionales

Espace des signataires, voix et supporters d'europe ecologie et toutes les personnes intéressées, pour le rejoindre et inviter d'autres personnes à en faire !



Une sorte d'espace pour aider à réfléchir ! Juste la partie visible de l'iceberg que nous constituerons. : militants, politiques, syndicaux, écologistes, environnementaux, mlilitants du quotidien et vous bien entendu !

Deux outils pour tout le monde :

Le blog d'infos par région, thème http://wantedwildworld.blogspot.com/
donc wanted correspondant(e)s par region ou theme.
Pour passer une info
Pas besoin d'être Balzac, Lenine ou autre ! «Que faire ? « disait Trostky (lol!) .

Raconter ce qu'on voit, entend, lit, hume en une dizaine de lignes via sms ou mail : info, questions, réponses...

Pour annoncer une réunion, une rencontre


Pour faire part de ses idées, réflexions, critiques, commentaires, suggestions



La page facebook "www.com"


L'espace facedebook de l'expression publique par défaut ! Faute de moyens ! Il permet de mieux se connaitre, d'échanger sur ce qui vous supprend, ravit, étonne, indigne !




A nous la musique des régions élections !

Et c'est reparti pour un tour ;-).


Contact
par sms : 06 65 32 51 50

par mail : wantedwildworld(arob)gmail.com


hymne choisi :
"La crise" de l'hommeparle
seule chanson sur laquelle ont dansé des eurodéputés et pas tout le monde !



Pas de panique on commence.

Une sorte d'espace pour aider à réfléchir !
Juste la partie visible de l'iceberg que nous constituerons.

Point. Barre. Et a vous, à nous la musique des régions élections !

Et c'est reparti pour un tour !

Si remarques critiques fautes d'organisation ou d'orthographe
DITES LE !!!

mais DITES LE !

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